Manger à Parma est une affaire sérieuse, Maria Luigia d’Autriche a également déclaré dans l’une de ses citations les plus célèbres: « A Parma, il n’est pas difficile de vivre, tant que vous savez comment vous mettre d’accord avec l’interlocuteur dans une discussion de nature musicale ou gastronomique ».

Et compte tenu de la grande importance accordée à la nourriture, aux produits typiques et à la convivialité, il y a des aspects culinaires sur lesquels le parmesan est vraiment sans compromis, de vrais dogmes de la bonne cuisine et de la bonne cuisine. Découvrons ce qu’ils sont:

1. Son nom est torta fritta.
Pas gnocco fritto, ni crescentina, ni chisulèn.
N’essayez pas de commander du gnocco fritto au restaurant si vous ne voulez pas déchaîner la colère de l’hôte et du chef.

2. Non si toglie il grasso dal prosciutto.
Ni d’aucune autre charcuterie, sous peine d’être accusé d’hérésie: l’enlever ruinerait l’équilibre parfait de notre bien-aimé Prosciutto di Parma donné précisément par le rapport entre la partie grasse et la partie maigre.

3. Les tortelli d’erbetta doivent “foghè in tal buter e sughè col formaj”.
Autrement dit, « noyé dans du beurre et séché avec du fromage », il n’y a pas de régime qui convient.

4. Anolini également à la mi-août.
Les étés dans la vallée du Pô sont presque infernaux: chauds, humides, étouffants. Mais il n’y a pas de chaleur qui puisse décourager les parmesans: le bouillon n’est pas abandonné même en août.

5. Le salame va coupé épais
Les tranches minces sont pour les débutants – la tranche parfaite doit tenir debout. Et le Salame est strictement Felino, qui est fait avec du porc et non du chat.

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